Manifeste
MANIFESTE ANTIFÉMINISTE
Le féminisme sous sa forme légère est un trouble narcissiste et égocentrique grave de la personnalité. C’est du vaginisme mental, du genre-centrisme, de l’agression, du génocide, de l’hystérie, de la haine pour la race humaine et pour la nature. Un mélange malsain, pervers et malveillant de psychopathie et de conduite manifestement antisociale. Le féminisme est une sociopathie. Sous sa forme la plus grave et inguérissable il est la conséquence de l’inaptitude à la logique et à l’adaptation à la réalité, produite par la détérioration et par la mutation biologique amenant un défaut physique qui limite l’intelligence et les capacités cognitives à des paramètres non humains. Ce défaut, c’est l’homosexualité, ses conséquences et ses expressions idéologiques constituent l’homosexualisme et le féminisme lui sert de couverture. Le féminisme est une agression et une violation flagrante de la réalité et de l’histoire. Ce révisionnisme historique est une accusation sans précédents contre l’humanité, contre nos ancêtres et contre nos concitoyens. Le féminisme est du vagin centrisme, de la genre-pathie, du sexe centrisme, du nombril centrisme et de la mégalomanie. Le féminisme est un virus qui menace l’humanité. La révolution antiféministe est l’antivirus. Le féminisme est une tentative d’usurpation lesbienne de la féminité et de la souveraineté individuelle des femmes, une tentative de s’emparer par la force de leur pensée et de leur volonté.
Révolution Antiféministe est la Civilisation rendant le coup. C’est la riposte méritée, le châtiment du crime. C’est le chirurgien qui marque, qui coupe, qui extirpe et qui désinfecte. On ne discute pas sur le féminisme, on le détruit. La Révolution antiféministe, c’est la société et sa représentation. Nous sommes l’avant-garde de la Civilisation et son arrière-garde. Nous représentons les hommes qu’on n’a pas réussi à mettre à genoux, et nous symbolisons le bois dont nous nous chauffons. Les féministes sont la préhistoire. La Civilisation a été, est et sera l’avenir. Il faudra bien qu’elles s’y habituent.
Révolution Antiféministe, dans sa lutte pour la libération sociale du fléau féministe, est et représente la société. Nous révolutionnaires, nous le savons, la société le sait. C’est une réponse à la virulente et vandalique agression que l’idéologie homosexuelle féministe fait subir à la Civilisation partout sur la planète. Ce qui était au départ une menace potentielle est devenu une menace réelle, et constitue même déjà, dans de nombreux pays, une agression en toute règle et sans limites. Le féminisme est un virus et doit être traité comme tel. Par son code génétique, bien en évidence pour l’avant-garde antiféministe, il porte en lui la capacité de devenir une pandémie. Mais nous ne le lui permettrons pas. Contre le féminisme, tolérance zéro. Un cordon sanitaire contre le féminisme. La révolution antiféministe est un antivirus, générateur d’antivirus et activateur du système immunitaire de la Civilisation. Elle est la réponse intellectuelle, réelle et sociale à l’imbécillité génétique ou acquise, au crime et à la barbarie.
Révolution Antiféministe fournira de moyens physiques, théoriques et intellectuels pour le combat d’éradication du virus et travaillera sans relâche jusqu’à définir le protocole définitif pour son isolement, sa neutralisation et sa liquidation définitive. Elle proposera également les actions nécessaires pour faire en sorte que ces circonstances ne redeviennent plus jamais possibles.
Révolution Antiféministe est une unité de combat contre le mensonge du féminisme car dans le féminisme tout est mensonge. Révolution Antiféministe, comme il ne saurait en être autrement, nie la majeure : elle nie la vérité des prémisses et des postulats du féminisme. Elle nie, bien entendu, ses mensonges évidents et maladifs sur l’histoire, son révisionnisme historique et sa reconstruction orwellienne de la réalité et de l’histoire comme étant la tentative nécessaire de démontrer ses insanités à l’aide de la vérification scientifique de sa réinvention homosexuelle de l’histoire. Nous nions également toute vérité et toute validité dans la terminologie féministe. Des termes et des concepts tels que : « exploitation de la femme », « égalité », machisme, sexisme, homophobie et « situation de la femme ». Ce sont là des termes propres à cette idéologie antisociale, marginale et homosexuelle, mais pas à la société. Ce sont des insultes articulées idéologiquement et utilisées politiquement pour l’agression, l’aliénation sociale et le lavage de cerveau collectif. Quelqu’un qui appelle machiste ou homophobe un homme ou une femme doit être arrêté et mis en quarantaine. Tant qu’il n’en sera pas ainsi, cette société ne sera pas libre.
Dans la dernière tentative d’abordage et d’assaut de la Civilisation, l’idéologie de genre est la dernière mutation du virus. Par son institutionnalisation par la force, la nouvelle phase de harcèlement et de siège de la société civile s’organise. On construit un dictionnaire, on fabrique des concepts et des mots féministes et on adopte une loi dans la législation espagnole pour homosexualiser la société en commençant par sa partie la plus faible : l’enfance et la jeunesse. Ainsi, en violant et en pervertissant leurs esprits, elles veulent voir s’accomplir leurs rêves fiévreux de soumission sexuelle de l’humanité.
Révolution Antiféministe n’a pas et n’adoptera pas de position politique. Un régime politique est inacceptable s’il est féministe. Son but, ce ne sont pas les intérêts ni les stratégies politiques, mais la liberté de l’humanité et de la Civilisation. La Révolution n’est ni pour ni contre la droite ou la gauche. Comme il s’agit de la société, elle représente toutes et aucune des idéologies qui y existent. Mais que cela ne serve pas à faire oublier quels sont les coupables et les instigateurs, et ne nous empêche pas de les montrer du doigt. Révolution Antiféministe accuse la gauche d’avoir trahi et agressé la société et ses électeurs, d’avoir conspiré contre la démocratie et contre notre système de libertés en vendant son âme au féminisme et à l’homosexualisme, et de finir donc par faire partie du problème. Mais Révolution antiféministe accuse aussi la droite de détourner la tête. Ces deux circonstances n’ont échappé à personne. La droite, comme beaucoup de nos concitoyens, a un retard à combler : se déclarer féministe ou antiféministe. Ceci est une guerre, et il n’y a que deux camps. La droite doit assumer ses responsabilités et commencer à démonter l’État féministe, à abolir les lois féministes et à reconnaître que c’est le féminisme qui est le problème. Le féminisme est la couverture et le mensonge pathologique de celles qui se font appeler lesbiennes et du lesbianisme. La haine maladive de l’univers, de la nature et de la réalité qui découle de leur anormalité biologique les pousse à l’agression individuelle et sociale, à essayer de subvertir la réalité et à instaurer la féodalité et l’aliénation sociale. Les féministes et leurs complices ne nous laissent pas le choix : ils ont choisi le mensonge en espérant que la vérité nous serait inutile. Mais ce sont précisément la connaissance et la vérité qui nous maintiendront sains et saufs : la vérité de ce que nous fûmes, de ce que nous sommes et de ce que nous serons. Par-dessus la pression médiatique-juridique-politique à laquelle les putschistes veulent nous soumettre. Par-dessus la tentative d’instaurer le féminisme dans laquelle sont dépensés des millions d’euros de notre travail, de notre effort et de nos familles. Le pain de nos enfants.
Révolution Antiféministe, ce sont les hommes qui, une fois encore, sont à la hauteur des circonstances. Révolution Antiféministe bombe la poitrine et assume sa responsabilité historique dans la lutte contre la barbarie, en allant au combat pour défendre nos familles, nos villages et nos villes contre l’esclavage, la violation et la féodalité. La Civilisation a survécu jusqu’à présent, et nous ne permettons pas qu’une poignée de malades aliénées la détruise. L’humanité a eu trop de mal a arriver jusqu’ici pour tolérer une involution qui nous ramènerait au Crétacé. L’humanité vous vaincra. La vie triomphera une fois encore.
Le féminisme est un défi à la civilisation, à nous tous, à chacun de nous. La révolution est le processus de libération et de reconquête qui fait appel à notre responsabilité pour que, sans excuses, nous prenions part activement aussi bien au processus et à la victoire, qu’à la surveillance permanente et indéfinie pour le maintien de la liberté récupérée.
NOUS sommes la nouvelle ère : l’ère du Verseau. NOUS sommes la fin de la féodalité. NOUS sommes la fin des temps de l’an 2012. Nous sommes la fin et nous sommes le commencement. Nous sommes votre fin. Nous portons un monde nouveau dans nos cœurs et ce monde est en train de naître à cet instant. Nous l’avons toujours porté et nous le porterons toujours. Il se lève chaque matin et c’est la Lumière du jour. Il brille tellement et avec tant de force que l’obscurité disparaît. L’éternelle bataille entre les forces de la lumière et des ténèbres où le Mal s’est toujours heurté à la défaite. Tout comme cette fois seront battus depuis la plus éminente et infâme des organisations féministes jusqu’aux Groupes de Pression homosexuels. La révolution antiféministe est votre karma. Elle traduit les lois inévitables et implacables de cet univers que vous détestez tant. Elle est la limite à votre folie et à vos délires. Révolution antiféministe est la loi, l’ordre, la structure, la paix sociale, la persévérance, la permanence dans le temps, la détermination, le gouvernement, la réussite et la Civilisation. Tout ce que vous, féministes, n’êtes pas.
Nous ne parlons ni aux féministes ni aux lesbiennes. Nous n’avons aucun type de rapports avec les féministes : ni affectifs, ni d’amitié, ni sexuels, ni émotionnels, ni spirituels. Bien moins encore avec les féministes qui reconnaissent publiquement leur homosexualité. Nous attendons et remercions aussi, de la part de nos amies, nos fiancées et nos femmes des manifestations d’antiféminisme habituelles et publiques. L’ambiguïté et la neutralité ne sont pas antiféministes. Maintenons propres nos rapports, nos vies et la civilisation ! Si nous évitons le contact avec le virus, nous éviterons qu’il nous parasite.
Nous exigeons l’abolition du Régime féministe et l’épuration des institutions. Mais d’abord, nous aimerions que nos Seigneurs féodaux répondent aux questions suivantes : Pourquoi avez-vous voulu nous imposer par la force l’idéologie féministe, le féminisme ? Pourquoi êtes-vous impliqués dans la subversion contre la liberté et la démocratie ? Que diriez-vous si au lieu du féminisme comme idéologie du Régime nous appliquions l’anarchisme et la terminologie anarchiste ? Là, ce serait vous qui vous retrouveriez sans propriétés, sans pouvoir et sans dignité ! N’est-ce pas que cela fiche la trouille ? N’est-ce pas que vous ne jouez pas avec ce feu-là ?
Il serait temps que le Masculinat brise ses chaînes et se libère de l’oppression et de l’exploitation auxquelles nous avons été soumis par les proto-féministes, les féministes et les homosexuelles. Nous les hommes, nous avons toujours accompli les travaux les plus durs, dangereux, mortels, chichement payés, et de plus nous sommes toujours morts en masse pour sauver les femmes. Maintenant, les homosexuelles veulent légiférer et faire de l’esclavage et de l’exploitation de l’homme la loi et la doctrine du Régime. Elles veulent nous voler l’avenir.
Incroyablement, nous sommes d’accord sur un point avec les féministes : les femmes ne sont pas des agresseuses. Cela est irréfutable. Aucune femme n’est une agresseuse. Si elle l’est, c’est qu’elle est féministe. Si elle est féministe, ce n’est pas une femme. De même que l’agression ne fait pas partie du naturel féminin, le féminin ne fait pas partie du naturel féministe. Les féministes ne sont pas des femmes. Les homosexuels sont un défaut de fabrication biologique qui fait qu’ils ne soient ni hommes ni femmes. L’agression verbale ou physique de « femmes » envers des femmes ou des hommes est du féminisme. Parallèlement, le féminisme est l’idéologie qui a le plus agressé l’humanité dans son ensemble, hommes, femmes et enfants, par-delà les systèmes politiques, les religions, les races, l’âge ou le sexe. La synthèse de la violence et de la haine du prochain. D’aucuns auraient beaucoup à dire sur la transformation, en 40 ans de dictature féministe, de jeunes filles affectueuses et pacifiques en hyènes galeuses et agressives à la bouche écumante. Sur la manière dont on leur a lavé le cerveau, dont on essaie de le leur laver. Là-dedans non plus, les hommes n’avons rien à voir, car il est évident que nous les aimons féminines, douces, princesses, confiantes et habillées en femmes. Si les hommes ne l’avons pas fait et que les féministes ne sont bonnes à rien faire, il faudrait demander ironiquement à nos seigneurs féodaux s’ils savent à qui est la faute. Est-ce qu’ils savent qui légifère, qui contrôle les média, qui décide des films qui passent ? Est-ce qu’ils savent par hasard qui peut disposer de telles sommes d’argent, et décider de les dépenser, pour légitimer et pour imposer par la force le féminisme, ses postulats, ses mensonges ? Le Ministère de la Vérité est un château de cartes qui sera pris par la plèbe pendant la révolution antiféministe. Le jour d’aujourd’hui marque un avant et un après. Plus rien ne sera comme avant. Nous allons arrêter le saccage de la Civilisation. Ensemble, nous arriverons plus loin de ce que vous puissiez imaginer. Pour la Civilisation, contre la barbarie !
Révolution Antiféministe
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